théâtre

de la bastille

Théâtre de la Bastille

main

SUNBENGSITTING


15 avr > 18 avr

Avec Simon Mayer

danse

Pour la deuxième année consécutive, le Théâtre de la Bastille s’associe à l’Atelier de Paris / Centre de développement chorégraphique national pour accueillir quatre chorégraphes qui explorent les rapports qu’entretiennent les corps avec les traditions et les territoires dans lesquels ils s’inscrivent.

Avec l'Atelier de Paris / CDCN.

En dialecte de la Haute-Autriche, sunbeng désigne le banc installé au soleil devant les fermes. Simon Mayer, lui-même né dans la campagne autrichienne, revisite à sa manière les traditions dont il est issu. Utilisant des éléments propres au folklore de sa culture d'origine – vocalises tyroliennes, schuhplattler (danse principalement pratiquée par des hommes), tronc qui devient banc, fouet chasseur de mauvais esprits – il les expose, en joue, et les dénude au sens propre puisque c'est nu qu'il danse ce solo.
À la fois danseur virtuose, musicien transformant son corps comme les accessoires en instruments, chorégraphe malin et émouvant, Simon Mayer fait ainsi brillamment dialoguer des univers souvent considérés comme inconciliables : les évocations de la nature et les codes urbains, la tradition et le contemporain, la contrainte et la liberté.
Laure Dautzenberg

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SUNBENGSITTING

Pour la deuxième année consécutive, le Théâtre de la Bastille s’associe à l’Atelier de Paris / Centre de développement chorégraphique national pour accueillir quatre chorégraphes qui explorent les rapports qu’entretiennent les corps avec les traditions et les territoires dans lesquels ils s’inscrivent.

Avec l'Atelier de Paris / CDCN.

En dialecte de la Haute-Autriche, sunbeng désigne le banc installé au soleil devant les fermes. Simon Mayer, lui-même né dans la campagne autrichienne, revisite à sa manière les traditions dont il est issu. Utilisant des éléments propres au folklore de sa culture d'origine – vocalises tyroliennes, schuhplattler (danse principalement pratiquée par des hommes), tronc qui devient banc, fouet chasseur de mauvais esprits – il les expose, en joue, et les dénude au sens propre puisque c'est nu qu'il danse ce solo.
À la fois danseur virtuose, musicien transformant son corps comme les accessoires en instruments, chorégraphe malin et émouvant, Simon Mayer fait ainsi brillamment dialoguer des univers souvent considérés comme inconciliables : les évocations de la nature et les codes urbains, la tradition et le contemporain, la contrainte et la liberté.
Laure Dautzenberg

Réalisation +

Spectacle de Simon Mayer Conception, performance et musique Simon Mayer Son et live looping Pascal Holper Création lumières Lucas Gruber et Hannes Ruschbaschan Conseil artistique Frans Poelstra Coordination technique et tournée Jan Maria Lukas

Coproduction Kopf Hoch/Simon Mayer, brut Wien (Vienne), Freischwimmer-Festival 2014/2015 et Im_flieger (Vienne) Avec le soutien de Elio Gervasi/RAUM 33 (Vienne), ROSAS (Bruxelles), du Kunstencentrum BUDA (Courtrai) et de Share Your Darlings (Graz) Avec l'aimable soutien de la Province autrichienne de la Haute-Autriche, de la Chancellerie fédérale (Vienne), du Forum culturel autrichien à Bruxelles, du Fonds culturel de la capitale (Berlin) et du Bourgmestre-gouverneur de Berlin – Chancellerie du Sénat – Affaires culturelles (Berlin) Direction de production Sophie Schmeiser Tournée Hiros/Kopf Hoch Remerciements à Kulturverein SPIEL, Trachtenverein Altstädter Bauerngmoa, die Goaßschnalzer Munderfing, Pramtaler Volkstanzgruppe, Fam. Mayer, Christian Schmeiser et Josef Schild.