danse
Une exploration étonnante de la relation intime unissant l'humain à la technologie
Si je réinvite Daniel Linehan, c'est que j'ai la conviction depuis son premier spectacle, d'être devant un grand artiste, comme je le fus avec Alain Platel ou Raimund Hoghe par exemple.
J-M H
Le talentueux chorégraphe américain Daniel Linehan présente sa nouvelle création au titre aussi énigmatique qu’envoûtant. Développant la matrice d’un solo de Zombie Aporia, présenté en 2011 au Théâtre de la Bastille, il imagine une mise en scène plaçant en son centre un dispositif original. Une double représentation s’offre simultanément au spectateur : l’une in vivo est la chorégraphie, l’autre est sa retransmission du point de vue des trois interprètes. Ainsi se confrontent les dualités corps-technologie et passé-présent.
Et nos repères se troublent… Si l’apport de la technique modifie la perception de soi et du monde, Daniel Linehan entreprend ici une exploration plus étonnante encore de la relation intime unissant l’humain à la technologie.
J-M H
Le talentueux chorégraphe américain Daniel Linehan présente sa nouvelle création au titre aussi énigmatique qu’envoûtant. Développant la matrice d’un solo de Zombie Aporia, présenté en 2011 au Théâtre de la Bastille, il imagine une mise en scène plaçant en son centre un dispositif original. Une double représentation s’offre simultanément au spectateur : l’une in vivo est la chorégraphie, l’autre est sa retransmission du point de vue des trois interprètes. Ainsi se confrontent les dualités corps-technologie et passé-présent.
Et nos repères se troublent… Si l’apport de la technique modifie la perception de soi et du monde, Daniel Linehan entreprend ici une exploration plus étonnante encore de la relation intime unissant l’humain à la technologie.
Nicolas Transy
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Gaze is a Gap is a Ghost
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Nicolas Transy
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Une exploration étonnante de la relation intime unissant l'humain à la technologie
Si je réinvite Daniel Linehan, c'est que j'ai la conviction depuis son premier spectacle, d'être devant un grand artiste, comme je le fus avec Alain Platel ou Raimund Hoghe par exemple.
J-M H
Le talentueux chorégraphe américain Daniel Linehan présente sa nouvelle création au titre aussi énigmatique qu’envoûtant. Développant la matrice d’un solo de Zombie Aporia, présenté en 2011 au Théâtre de la Bastille, il imagine une mise en scène plaçant en son centre un dispositif original. Une double représentation s’offre simultanément au spectateur : l’une in vivo est la chorégraphie, l’autre est sa retransmission du point de vue des trois interprètes. Ainsi se confrontent les dualités corps-technologie et passé-présent.
Et nos repères se troublent… Si l’apport de la technique modifie la perception de soi et du monde, Daniel Linehan entreprend ici une exploration plus étonnante encore de la relation intime unissant l’humain à la technologie.
J-M H
Le talentueux chorégraphe américain Daniel Linehan présente sa nouvelle création au titre aussi énigmatique qu’envoûtant. Développant la matrice d’un solo de Zombie Aporia, présenté en 2011 au Théâtre de la Bastille, il imagine une mise en scène plaçant en son centre un dispositif original. Une double représentation s’offre simultanément au spectateur : l’une in vivo est la chorégraphie, l’autre est sa retransmission du point de vue des trois interprètes. Ainsi se confrontent les dualités corps-technologie et passé-présent.
Et nos repères se troublent… Si l’apport de la technique modifie la perception de soi et du monde, Daniel Linehan entreprend ici une exploration plus étonnante encore de la relation intime unissant l’humain à la technologie.
Nicolas Transy
Réalisation +
Chorégraphie : Daniel Linehan
Interprétation : Salka Ardal Rosengren, Anneleen Keppens, Maria Silva
Dramaturgie : Aaron Schuster
Lumière et décor : en cours
Costumes : Icaro-Ibañez Arricivita
Production : Caravan Production
Coproduction : Théâtre de la Bastille
Résidences : PACT Zollverein/CZNRW – Essen (Allemagne), deSingel Kunstencampus – Anvers (Belgique), Kunstencentrum STUK – Louvain (Belgique), Kunstencentrum BUDA – Courtrai ( Belgique), Kaaitheater – Bruxelles (Belgique), Kunstencentrum Vooruit – Gand Belgique)
Coproduction : deSingel Kunstencampus – Anvers, Kaaitheater – Bruxelles, Kunstencentrum BUDA – Courtrai, Sadler’s Wells – Londres, Opéra de Lille, Centre de développement chorégraphique – Toulouse/Midi-Pyrenées
Aide à la production : Arcadi
Distribution internationale/administration : Damien Valette
Interprétation : Salka Ardal Rosengren, Anneleen Keppens, Maria Silva
Dramaturgie : Aaron Schuster
Lumière et décor : en cours
Costumes : Icaro-Ibañez Arricivita
Production : Caravan Production
Coproduction : Théâtre de la Bastille
Résidences : PACT Zollverein/CZNRW – Essen (Allemagne), deSingel Kunstencampus – Anvers (Belgique), Kunstencentrum STUK – Louvain (Belgique), Kunstencentrum BUDA – Courtrai ( Belgique), Kaaitheater – Bruxelles (Belgique), Kunstencentrum Vooruit – Gand Belgique)
Coproduction : deSingel Kunstencampus – Anvers, Kaaitheater – Bruxelles, Kunstencentrum BUDA – Courtrai, Sadler’s Wells – Londres, Opéra de Lille, Centre de développement chorégraphique – Toulouse/Midi-Pyrenées
Aide à la production : Arcadi
Distribution internationale/administration : Damien Valette