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Théâtre de la Bastille

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HORS-SERIE IV - La Mort d'Ivan Ilitch


07 fev > 12 fev
théâtre

Une atmosphère entre chien et loup qui renvoie chacun à son monde intérieur

Un homme s'avance dans l'obscurité, simplement éclairé par un tube de néon. Il se déshabille, chante, pisse, fume, monte sur une chaise, pleure. Comme souvent chez Yves-Noël Genod, le spectacle se construit sur une forme très simple : une présence - celle de Thomas Gonzalez, forte, magnétique, pasolinienne -, des chansons d'amour, une lumière qui évoque les clairs-obscurs du Caravage, et de la fumée qui crée un univers fantomatique... Il est question de l'amour et du temps qui passe, de l'éphémère et de l'éternité, de solitude et de beauté. On oscille entre les larmes et la joie, tandis que le corps de Thomas Gonzalez se déploie dans un temps suspendu, dans une atmosphère entre chien et loup qui renvoie chacun à son monde intérieur.

Laure Dautzenberg

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HORS-SERIE IV - La Mort d'Ivan Ilitch

Une atmosphère entre chien et loup qui renvoie chacun à son monde intérieur

Un homme s'avance dans l'obscurité, simplement éclairé par un tube de néon. Il se déshabille, chante, pisse, fume, monte sur une chaise, pleure. Comme souvent chez Yves-Noël Genod, le spectacle se construit sur une forme très simple : une présence - celle de Thomas Gonzalez, forte, magnétique, pasolinienne -, des chansons d'amour, une lumière qui évoque les clairs-obscurs du Caravage, et de la fumée qui crée un univers fantomatique... Il est question de l'amour et du temps qui passe, de l'éphémère et de l'éternité, de solitude et de beauté. On oscille entre les larmes et la joie, tandis que le corps de Thomas Gonzalez se déploie dans un temps suspendu, dans une atmosphère entre chien et loup qui renvoie chacun à son monde intérieur.

Laure Dautzenberg

Réalisation +
Mise en scène et scénographie Yves-Noël Genod
Avec Thomas Gonzalez