théâtre

de la bastille

Théâtre de la Bastille

main
danse

Remontant le temps vers notre époque, le samouraï et sa servante nous rejoignent pour évoquer tout en délicatesse de furtifs moments poétiques.

Une date supplémentaire a été rajoutée aux représentations de SHO-BO-GEN-ZO : le jeudi 28 janvier à 21h

Le titre de la pièce SHO-BO-GEN-ZO est une référence directe aux écrits de Dogen, maître zen du 13e siècle. Josef Nadj, grand admirateur de la pensée bouddhiste est allé y piocher deux courts fragments, dont cette phrase que le chorégraphe cite en souriant : « L’oiseau voit la trace de l’oiseau ». Il dit aimer dans le bouddhisme cette capacité à « saisir les choses sans vouloir les expliquer ».
Le duo musical repose sur l’imaginaire puissant des musiciens improvisateurs hors pairs : Joëlle Léandre et Akosh Szelevényi. Cécile Loyer et Josef Nadj nous rejoignent pour évoquer tout en délicatesse de furtifs moments poétiques. La trace de l’oiseau apparaît avec une pointe d’humour, cet humour subtil des maîtres zen très apprécié par Josef Nadj et qu’il sait nous faire partager dans ce très beau spectacle. Aude Lavigne

fermer SHO-BO-GEN-ZO
Article

SHO-BO-GEN-ZO

Remontant le temps vers notre époque, le samouraï et sa servante nous rejoignent pour évoquer tout en délicatesse de furtifs moments poétiques.

Une date supplémentaire a été rajoutée aux représentations de SHO-BO-GEN-ZO : le jeudi 28 janvier à 21h

Le titre de la pièce SHO-BO-GEN-ZO est une référence directe aux écrits de Dogen, maître zen du 13e siècle. Josef Nadj, grand admirateur de la pensée bouddhiste est allé y piocher deux courts fragments, dont cette phrase que le chorégraphe cite en souriant : « L’oiseau voit la trace de l’oiseau ». Il dit aimer dans le bouddhisme cette capacité à « saisir les choses sans vouloir les expliquer ».
Le duo musical repose sur l’imaginaire puissant des musiciens improvisateurs hors pairs : Joëlle Léandre et Akosh Szelevényi. Cécile Loyer et Josef Nadj nous rejoignent pour évoquer tout en délicatesse de furtifs moments poétiques. La trace de l’oiseau apparaît avec une pointe d’humour, cet humour subtil des maîtres zen très apprécié par Josef Nadj et qu’il sait nous faire partager dans ce très beau spectacle. Aude Lavigne

Réalisation +
Chorégraphie et scénographie Josef Nadj
Composition musicale Joëlle Léandre et Akosh Szelevényi
Avec Josef Nadj et Cécile Loyer (danseurs), Joëlle Léandre (contrebassiste) et Akosh Szelevényi (saxophoniste et poly-instrumentiste)
Lumière Rémi Nicolas
Décors Julien Fleureau
Conception des masques Jacqueline Bosson
Costumes Aleksandra Pesic et Françoise Yapo

Première représentation : le 11 septembre 2008 à Kanjiza (Serbie)
Production: Regional Creative Atelier Jozef Nadj, Kanjiza
Coproduction : Jugokoncert-Beograd, Pecs 2010 ECC, Centre Chorégraphique National d'Orléans (France) , Théâtre de la Bastille – Paris (France)

Production/diffusion Martine Dionisio