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Théâtre de la Bastille

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Amour, acide et noix


06 avr > 10 avr
danse

Daniel Léveillé choisit pour la première fois dans son travail le nu intégral pour les interprètes. Compacte et puissante, cette nudité frappe et émerveille tant elle est assumée par les danseurs.

Dans Amour, acide et noix, pièce composée en 2001, le chorégraphe québécois Daniel Léveillé choisit pour la première fois dans son travail le nu intégral pour les interprètes. Compacte et puissante, cette nudité frappe et émerveille tant elle est assumée par les danseurs. Une femme seule d’abord, rejointe par un homme, puis deux hommes, puis un quatuor de corps réunis prennent la mesure les uns des autres en des variations courtes et tendues. Rarement la danse n’a été montrée avec autant de précision sur la peau même des interprètes. La nudité, loin de contraindre à l’économie de mouvement, incite le geste à une adresse directe et vive. Les sauts fréquents, les portées et les appuis sont autant de figures qui se découvrent alors comme un premier geste que nous ne nous lassons pas d’admirer.
A. L.

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Amour, acide et noix

Daniel Léveillé choisit pour la première fois dans son travail le nu intégral pour les interprètes. Compacte et puissante, cette nudité frappe et émerveille tant elle est assumée par les danseurs.

Dans Amour, acide et noix, pièce composée en 2001, le chorégraphe québécois Daniel Léveillé choisit pour la première fois dans son travail le nu intégral pour les interprètes. Compacte et puissante, cette nudité frappe et émerveille tant elle est assumée par les danseurs. Une femme seule d’abord, rejointe par un homme, puis deux hommes, puis un quatuor de corps réunis prennent la mesure les uns des autres en des variations courtes et tendues. Rarement la danse n’a été montrée avec autant de précision sur la peau même des interprètes. La nudité, loin de contraindre à l’économie de mouvement, incite le geste à une adresse directe et vive. Les sauts fréquents, les portées et les appuis sont autant de figures qui se découvrent alors comme un premier geste que nous ne nous lassons pas d’admirer.
A. L.

Réalisation +
Chorégraphie Daniel Léveillé.
Avec Frédéric Boivin, Mathieu Campeau, Justin Gionet, Esther Gaudette ou Ivana Milicevic.
Assistante à la chorégraphie/répétitrice
Marie-Andrée Gougeon
Lumière Marc Parent
Directeur technique Jean Jauvin

Production Daniel Léveillé danse
Avec le soutien du Conseil des Arts et des Lettres du Québec, du Conseil des Arts du Canada, du Conseil des Arts de la Ville de Montréal, du Ministère des Affaires Etrangères et du Commerce International et du Département de danse de l’Université du Québec à Montréal
Réalisation Théâtre de la Bastille
Directeur artistique Daniel Léveillé
Directrice générale Marie-Andrée Gougeon
Administration Amélie Gauthier