théâtre

de la bastille

Théâtre de la Bastille

Tout ce qui nous reste de la révolution, c'est Simon


24 mar > 26 mar
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Un spectacle imaginé par le collectif l'avantage du doute

En 2005, j’invitais les acteurs de tg STAN à s’installer durablement au Théâtre de la Bastille. Au coeur du projet, deux reprises : My Dinner with Andréet Voir et voir et deux créations : Anathema et L’Avantage du doute.

Ce dernier fut réalisé sur les bases d’un stage dirigé par Frank Vercruyssen pour des acteurs français au Théâtre Garonne, à Toulouse. Parmi eux, Simon Bakhouche et Nadir Legrand. Sortant de cette aventure, un certain nombre de ces acteurs décidèrent de rester liés. Ils prirent le nom du spectacle qui les avait réunis : L’Avantage du doute ! Un nouveau groupe était né.
Le premier projet issu de la réunion de ces générations différentes fut de réinterroger Mai 68. Hélène Laverge les accueillit au Bateau Feu à Dunkerque pour un premier workshop et un travail d’enquête, que je suis allé voir, bien sûr.
L’année d’après, à l’automne 2008, un spectacle naissait. Seul Nadir Legrand manquait, retenu par Les Possédés en tournée. Ainsi en va-t-il des scissiparités ! Mais il revient.
Après une telle histoire, il eut été dommage de ne pas chercher quelques jours libres au cours de la présence des Possédés pour qu’ils continuent à la Bastille ce qu’ils y ont si bien commencé.
Voici donc, né des STAN et des Possédés, Tout ce qui nous reste de la révolution, c’est Simon.
Jean-Marie Hordé

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Tout ce qui nous reste de la révolution, c'est Simon

Un spectacle imaginé par le collectif l'avantage du doute

En 2005, j’invitais les acteurs de tg STAN à s’installer durablement au Théâtre de la Bastille. Au coeur du projet, deux reprises : My Dinner with Andréet Voir et voir et deux créations : Anathema et L’Avantage du doute.

Ce dernier fut réalisé sur les bases d’un stage dirigé par Frank Vercruyssen pour des acteurs français au Théâtre Garonne, à Toulouse. Parmi eux, Simon Bakhouche et Nadir Legrand. Sortant de cette aventure, un certain nombre de ces acteurs décidèrent de rester liés. Ils prirent le nom du spectacle qui les avait réunis : L’Avantage du doute ! Un nouveau groupe était né.
Le premier projet issu de la réunion de ces générations différentes fut de réinterroger Mai 68. Hélène Laverge les accueillit au Bateau Feu à Dunkerque pour un premier workshop et un travail d’enquête, que je suis allé voir, bien sûr.
L’année d’après, à l’automne 2008, un spectacle naissait. Seul Nadir Legrand manquait, retenu par Les Possédés en tournée. Ainsi en va-t-il des scissiparités ! Mais il revient.
Après une telle histoire, il eut été dommage de ne pas chercher quelques jours libres au cours de la présence des Possédés pour qu’ils continuent à la Bastille ce qu’ils y ont si bien commencé.
Voici donc, né des STAN et des Possédés, Tout ce qui nous reste de la révolution, c’est Simon.
Jean-Marie Hordé

Réalisation +
Un spectacle conçu par Simon Bakhouche, Mélanie Bestel, Judith Davis, Claire Dumas, Nadir Legrand

Avec : Simon Bakhouche, Mélanie Bestel, Judith Davis, Claire Dumas

Production déléguée Le Bateau Feu-Scène nationale de Dunkerque
Coproduction La Comédie de
Béthune-Centre dramatique national du Nord-Pasde-Calais

Avec le soutien de La Ferme du Buisson-Scène nationale de Marne-la-Vallée
Réalisation Théâtre de la Bastille

Compléments biographiques dans le dossier de presse.