théâtre

de la bastille

Théâtre de la Bastille

Nusch de Paul Eluard.


09 jan > 20 jan

Le texte d'Eluard est bouleversant. La simplicité de l'acteur est d'une humilité saisissante. Ceci se donne donc pour ... vingt-cinq personnes chaque soir.

du 9 au 13 et du 16 au 20 janvier 2008 à 21h30 et dimanche à 17h30


Spectacle hors abonnement.



tg STAN et Rosas présentent nusch
d'après Paul Eluard

spectacle en français


distribution

texte d'après Paul Eluard
adaptation Judith Davis et Frank Vercruyssen
chorégraphie Anne Teresa De Keersmaeker
un spectacle avec Frank Vercruyssen et en alternance Anne Teresa De Keersmaeker, Elizaveta Penkova, Sue-Yeon Youn ou Liz Kinoshita

avec la participation de Jolente De Keersmaeker
conseil costumes An D'Huys
lumières Raf De Clercq et Tim Wouters
décor Tg STAN et Rosas

Poésie Ininterrompue et Nusch © Editions Gallimard
Le Temps Déborde © Editions Seghers

production tg STAN en collaboration avec Rosas

première le 1er décembre 2006, Tg STAN, Anvers
première de la version française le 9 janvier 2008, Théâtre de la Bastille, Paris


info

Vous êtes chez moi. Suis-je chez moi?
J'ai toute la place nécessaire
Pour qu'il n'y ait pas de spectacle
Chez moi.

nusch, en collaboration avec Rosas, est fondée sur les poèmes « Poésie ininterrompue » (1945) et « Nusch » (1950) et le recueil de poèmes « Le temps déborde » (1947) du poète français Paul Eluard, un des plus importants représentants du surréalisme.

Le texte a été composé par l'acteur de tg STAN, Frank Vercruyssen, et Judith Davis. Davis figurait comme actrice dans L'avantage du doute (tg STAN, Paris 2005). La chorégraphie est d'Anne Teresa De Keersmaeker de Rosas.

Frank Vercruyssen assure l'interprétation. La version néerlandaise était dansée en alternance par Anne Teresa De Keersmaeker, Tale Dolven, Cynthia Loemij, Elizaveta Penkova et Taka Shamoto. La version française est dansée en alternance par Anne Teresa De Keersmaeker, Elizaveta Penkova, Sue-Yeon Youn et Liz Kinoshita.

Avec Frank Vercruyssen et une danseuse invitée de la compagnie Rosas.

Une grande table, environ vingt-cinq spectateurs autour. Frank nous accueille. Quand il aborde le poème, la danseuse viendra sur la table.
Le texte d'Eluard est bouleversant. La simplicité de l'acteur est d'une humilité saisissante. Ceci se donne donc pour ... vingt-cinq personnes chaque soir. Je n'ai pas pu résister : un tel chant d'amour !
Mes remerciements vont à la compagnie qui, seule, a rendu possible cette rareté.

Jean-Marie Hordé