théâtre
Une réflexion intime et désespérée sur la quête de l'absolu
En soliste virtuose, le comédien Armel Veilhan nous livre les destins croisés de trois pianistes, anciens élèves du célèbre Horowitz.
Incarnant la parole de l’un d’entre eux, le narrateur dessine le portrait du génial et écrasant Glenn Gould et raconte comment Wertheimer, l’ami malheureux et jaloux, sombre dans la folie et finit par se suicider. Trouvant refuge dans l’écriture et la philosophie, le témoin du naufrage fait figure de seul rescapé de l’échec.
La mise en scène de Joël Jouanneau fait résonner une réflexion intime et désespérée sur la quête de l’absolu. Travaillant rythmes, ponctuations, respirations et silences, il laisse à l’indémêlable partition du rire et de la rage de Thomas Bernhard le soin de se jouer de ses obsessions.
Incarnant la parole de l’un d’entre eux, le narrateur dessine le portrait du génial et écrasant Glenn Gould et raconte comment Wertheimer, l’ami malheureux et jaloux, sombre dans la folie et finit par se suicider. Trouvant refuge dans l’écriture et la philosophie, le témoin du naufrage fait figure de seul rescapé de l’échec.
La mise en scène de Joël Jouanneau fait résonner une réflexion intime et désespérée sur la quête de l’absolu. Travaillant rythmes, ponctuations, respirations et silences, il laisse à l’indémêlable partition du rire et de la rage de Thomas Bernhard le soin de se jouer de ses obsessions.
Elsa Kedadouche
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Le Naufragé
Article
Elsa Kedadouche
Le Naufragé
Une réflexion intime et désespérée sur la quête de l'absolu
En soliste virtuose, le comédien Armel Veilhan nous livre les destins croisés de trois pianistes, anciens élèves du célèbre Horowitz.
Incarnant la parole de l’un d’entre eux, le narrateur dessine le portrait du génial et écrasant Glenn Gould et raconte comment Wertheimer, l’ami malheureux et jaloux, sombre dans la folie et finit par se suicider. Trouvant refuge dans l’écriture et la philosophie, le témoin du naufrage fait figure de seul rescapé de l’échec.
La mise en scène de Joël Jouanneau fait résonner une réflexion intime et désespérée sur la quête de l’absolu. Travaillant rythmes, ponctuations, respirations et silences, il laisse à l’indémêlable partition du rire et de la rage de Thomas Bernhard le soin de se jouer de ses obsessions.
Incarnant la parole de l’un d’entre eux, le narrateur dessine le portrait du génial et écrasant Glenn Gould et raconte comment Wertheimer, l’ami malheureux et jaloux, sombre dans la folie et finit par se suicider. Trouvant refuge dans l’écriture et la philosophie, le témoin du naufrage fait figure de seul rescapé de l’échec.
La mise en scène de Joël Jouanneau fait résonner une réflexion intime et désespérée sur la quête de l’absolu. Travaillant rythmes, ponctuations, respirations et silences, il laisse à l’indémêlable partition du rire et de la rage de Thomas Bernhard le soin de se jouer de ses obsessions.
Elsa Kedadouche
Réalisation +
Texte : Thomas Bernhard
Adaptation et mise en scène : Joël Jouanneau
Interprétation : Armel Veilhan
Traduction : Bernard Kreiss
Lumière : Thomas Cottereau
Le texte est publié aux Éditions Gallimard
Coproduction : L’Eldorado, Théâtre Vidy – Lausanne
Avec le soutien de : la DRAC Bretagne.
Réalisation : Théâtre de la Bastille
Production/diffusion : Chantal Karmin
Adaptation et mise en scène : Joël Jouanneau
Interprétation : Armel Veilhan
Traduction : Bernard Kreiss
Lumière : Thomas Cottereau
Le texte est publié aux Éditions Gallimard
Coproduction : L’Eldorado, Théâtre Vidy – Lausanne
Avec le soutien de : la DRAC Bretagne.
Réalisation : Théâtre de la Bastille
Production/diffusion : Chantal Karmin