théâtre

de la bastille

Théâtre de la Bastille

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Buffet à vif


15 juin > 01 juil

Avec Marguerite Bordat, Raphaël Cottin et Pierre Meunier

théâtre

Buffet à vif est d'abord une histoire de rencontre : celle de Pierre Meunier, homme de scène, et de Raphaël Cottin, danseur et chorégraphe, à l'invitation de Sujets à vif, qui chaque année suscite des collaborations inédites au Festival d'Avignon. La rencontre a fonctionné si bien qu'elle se prolonge aujourd'hui et s'augmente d'un chapitre.
Soit, au départ, un buffet, un beau buffet bien ouvragé qu'il s'agit de réduire en miettes. Comme toujours dans l'univers de Pierre Meunier, il est question de la chose prise à la lettre et de sa métaphore : détruire, oui, mais s'agit-il de faire place nette pour se désencombrer ou de mettre à bas, de mettre à mal, de faire disparaître ce qui a été patiemment construit, échafaudé ? Faut-il s'entourer de précautions, ou congédier la prudence étouffante ? Pour répondre à ces épineuses questions, les deux hommes, aux corps très dissemblables, s'assemblent autour d'un même geste et font appel aux ressources du burlesque pour joyeusement détruire, saccager, douter et, étonnamment, laisser aussi passer beaucoup d'affection.
L.D

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Buffet à vif

Buffet à vif est d'abord une histoire de rencontre : celle de Pierre Meunier, homme de scène, et de Raphaël Cottin, danseur et chorégraphe, à l'invitation de Sujets à vif, qui chaque année suscite des collaborations inédites au Festival d'Avignon. La rencontre a fonctionné si bien qu'elle se prolonge aujourd'hui et s'augmente d'un chapitre.
Soit, au départ, un buffet, un beau buffet bien ouvragé qu'il s'agit de réduire en miettes. Comme toujours dans l'univers de Pierre Meunier, il est question de la chose prise à la lettre et de sa métaphore : détruire, oui, mais s'agit-il de faire place nette pour se désencombrer ou de mettre à bas, de mettre à mal, de faire disparaître ce qui a été patiemment construit, échafaudé ? Faut-il s'entourer de précautions, ou congédier la prudence étouffante ? Pour répondre à ces épineuses questions, les deux hommes, aux corps très dissemblables, s'assemblent autour d'un même geste et font appel aux ressources du burlesque pour joyeusement détruire, saccager, douter et, étonnamment, laisser aussi passer beaucoup d'affection.
L.D

Réalisation +

De Pierre Meunier et Raphaël Cottin Collaboration artistique Marguerite Bordat Remerciements à Frédéric Kunze

Production La Belle Meunière, La Poétique des Signes Coproduction SACD – Festival d’Avignon.